Biriatou Février 2021

RANDO A BIRIATOU

7 FEVRIER 2021

Le froid et l’humidité n’ont pas arrêté quelques passionnés du club qui ont bravé les éléments ce dimanche lors d’une petite excursion musclée sur les hauteurs de Biriatou. Un grand merci à Jean Marc pour le parcour.

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Itxassou Janvier 2021

RANDO A ITXASSOU

10 JANVIER 2021

J’avais un peu mis la pression aux volontaires pour cette randonnée car les conditions météo étaient exceptionnelles : 0 degrés au départ et – 5 sur les crêtes avec 30 a 40 cm de neige mais cela n’a pas démotivé 5 passionnés d’ Itzuliak !
Sur chaussures, gants de snowboard font partie du matériel obligatoire et c’est parti vers le « pas de Roland » ! Dès le premier km la neige fait son apparition sur les arbres, au 5 km, on roule sur la neige et dépassons les voitures qui doivent chaîner ! C’est magnifique, chacun fait sa trace sur la piste vers le Gorospil. Le sommet est encore dans les nuages et vu les congères prévisibles sur les crêtes on décide de prendre le single à l’Est vers le Mondarrin, le Gr10. Le début est compliqué dans 30/40 cm de poudreuse, la suite est vraiment top. 1 h plus tard, on arrive sous le Mondarrin, le soleil fait son apparition, on se croit en haute montagne, et le paysage incroyable ! La suite est un pur régal jusqu’au col de Legaré même si on croise de plus en plus de randonneurs ! Sur la dernière descente, plus de neige mais ça dévale vite !
A 12 h 30, après 23 km et 900 m+, on est de retour avec une énorme banane ! C’était vraiment exceptionnel ces conditions !
Merci à tous pour la bonne humeur et ce moment partagé.
A bientôt
Christophe

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Mai 2016 Sierra de Guara. Nocito. Journée 1

Mai 2016 Sierra de Guara. Nocito. Journée 1

Trois précurseurs en préambule à ce séjour d’une semaine : Arnaud, Marc et Olivier.

Nous démarrons du pueblo d’Arguis, transformé en camp de base pour la construction de la nouvelle route du col de Monrepos, vaste chantier reliant Sabinianigo à Huesca. Ouvrage titanesque ouvert au début des années 2000, jalonné de spectaculaires ponts et tunnels, il épargne heureusement le massif de la Sierra de Guara, dont il marque la limite occidentale.

Nous commençons par la route qui monte de Arguis jusqu’au sommet du Pico de Aguila. Du sommet, s’étend un vaste panorama. Au Sud sur la plaine de Huesca, fermée par la barre des Monegros. Au Nord,  la chaîne des Pyrénées sert d’horizon à perte de vue. A l’Est les vallées successives de Belsué, Nocito et Bara qui seront notre terrain de jeu pendant toute la semaine.

Pour la descente, nous empruntons un des nouveaux sentiers de rando balisés créés par la Comarca,  grâce à la connaissance approfondie du site et à la ténacité de Bertrand, guide cavalier qui tient l’auberge la Malata de Nocito.

Il  commence par une assez longue traversée sur un petit sentier sinueux et pas encore lissé par le passage répété des randonneurs. Assez vite, le sentier s’incline de plus en plus. Toujours aussi  « rugueux » il s’achève par une série de zigzags très serrés et  bien pentus, jusqu’au col de Meson Nuevo. Là, je réclame une petite  pose pour décontracter les mains, crispées sur les freins pendant ce passage de voltige. Notre position, sur le col qui surplombe Arguis, nous offre deux options : Retour aux voitures pour conclure cette « petite rando d’ouverture » ou « petite rallonge » par le lac de Belsue. Comme nous n’avons jusqu’à présent que 14km et 700M de dpc à peine, le choix est vite fait et nous plongeons vers le lac (pour une fois qu’il y a de l’eau…). Au total, la « petite rallonge » nous mettra à 1100 dpc et 37 km, mais nous ne le savons pas encore (du moins pas tous…).

La descente vers  le lac est un régal. Bien technique mais sans pièges, même si le manque de fréquentation laisse le sentier encombré de quelques solides ronces et passages caillasseux. En fait nous sommes sur le chemin antique qui reliait Arguis et Belsue bien avant l’arrivée des voitures et du nouveau tracé goudronné qui emprunte le versant nord de la vallée – nous l’emprunterons pour remonter à Meson Nuevo « un peu plus tard » dans la journée.

Aux abords du  village de Belsue, réhabilité depuis quelques années, nous croisons un vestige de l’activité agricole, qui a perduré dans toute la vallée jusqu’à l’exode rural des années cinquante et se cantonne à présent sur quelques arpents  les plus accessibles.

Arnaud décide de tester ce modèle de deux-roues pour la fin de la rando. Mais on ne sait pas qui sera le « caballo ».

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Nous empruntons  ensuite un  vallon caractéristique des « malas Tierras », ces terrains érodés de leur terre arable, où seuls subsistent  la roche et le substrat aride. Il nous mène à la pardina de Ascaso, petit hameau abandonné qui surplombe le Rio Flumen. Celui-ci  arrive directement du Puerto de Monrepos en une succession de larges cascades et de petits bassins où l’eau se réchauffe rapidement. Heureusement pour nous car, fin mai, les cours d’eau ne sont pas tous aussi chauds ! Après un petit plouf revigorant, nous rejoignons  la rive du lac

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et piquons plein sud vers l’entrée des immenses falaises des gargantas de Cienfuens.

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Nous franchissons le spectaculaire  barrage de l’embalse, pour remonter vers la rive haute par un petit sentier « technico-ludique » au début mais qui se perd dans les parcelles cultivées.

Après quelques hésitations, nous retrouvons la piste qui rejoint l’asphalte pour rejoindre Meson Nuevo. Montée roulante et efficace, avant l’ultime descente (pas le meilleur souvenir) sur Arguis.

36,5 km / DPC 1100 : Juste une mise en jambes !

Arguis Belsue

 

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Après un repas sympathique à Arguis, Casa Migalon, et  une nuit en « camping-voiture » au bord de la petite route (qui mérite une prochaine exploration…) reliant  Arguis au lac de La Pena, nous allons rejoindre le gros de la bande ITZULIAK (pas de noms…) qui arrive pour sa première journée.

 

Luz Saint Sauveur octobre  2016.

Luz Saint Sauveur octobre 2016.

Six jours du coté de Luz Saint Sauveur entre le cirque de Troumouse et le pic du midi de Bigorre. Au final près de 5300 mètres de dénivelé positif mais grâce a un savant jeux de navette près de 8800 mètres en descente.

Une ascension du pic du midi de Bigorre un jour ou la mer de nuage avait descidé de pas se lever en dessous de1800 mètres d’altitude.

 

 

 

 

 

 

 

séjour en Aragon aux Mallos de Riglos mai 2016.

séjour en Aragon aux Mallos de Riglos mai 2016.

Six jours en Aragon au pied des Mallos de Riglos. De la pistasse au milieu de décors somptueux entre le amandiers et les oliviers centenaires, mais également un très beau et exceptionnel single de près de trois quart d’heure en descente!